Jouer pour changer!

Mathieu Viviani, le 06/01/2013

Avez-vous déjà entendu  Stand by me,  standard des standards des chansons d’amour, interprété par un blues man de Las Vegas, un soliste néerlandais, des chœurs sud-Africains, des guitares Vénézuéliennes, un saxophoniste italien, une rythmique Congolaise, Amérindienne, française, et j’en passe? La liste est encore longue, et le voyage mondial et musical réjouissant !
Voici venu le temps de vous faire découvrir, ou redécouvrir  Playing for Change ! Voilà un nom qui en dit long sur les actions de ce mouvement et fondation dont le seul et unique but est de « promouvoir la paix dans le monde au travers  d’échanges musicaux ».
Désolé pour les pessimistes, les fatalistes, accrochez-vous bien, il y a des gens qui font des choses pour changer  « les choses ! »
Une aventure qui débute un beau jour de 2005 avec une rencontre réunissant Marc Johnson, ingénieur du son passionné, et Roger Ridley, musicien de rue dont le talent et la passion n’a d’égal que les standards de soul américaine qu’ils chantent chaque samedi sur ce boulevard californien. De ce coup de foudre musical d’un premier temps, émergea l’idée d’enregistrer Roger, et de partager l’enregistrement avec des musiciens des quatre coins du monde. Le vaisseau Playing For Change était donc né, et deux albums après, ce dernier, pour notre plus grand bonheur vogue toujours !
Alors, en route chers amis ! Allons parcourir le monde sur ce vaisseau nommé « partage ». Pour cela, juste quelques clics  afin accéder au site www.playingforchange.com.  Vous y découvrirez les actions de ce mouvement éclectique et humaniste qui n’attend que nous, afin de porter sa voix au plus grand nombre…
Bon, bon allez je vais m’arrêter d’écrire  avant que l’on me « censure », car la musique comme vous le devinez, ça s’écoute avant tout, et puis la paix dans le monde, personne n’y croit, c’est niais et démodé chez nous autres les français. Donc l’heure de vous souhaiter un bon voyage, sans détour, n’ayant qu’un seul gimmick en tête : « Connecting people through music ». La censure de nos rêves n’a qu’à bien se tenir ! Big up au réaliste, big up aux optimistes ! N’oubliez pas,  cette Nouvelle Vague, peut-être celle qui  chantera l’hymne d’un nouvel  espoir !le